triolisme (n.m) : pratique libertine consistant, pour un couple, à faire appel à un troisième partenaire pendant ses ébats sexuels.

Le terme triolisme est assez explicite. Toutefois, il convient de ne pas le confondre avec le candaulisme, qu’il n’exclue pas, mais qui n’est pas exactement la même pratique.

On parle surtout de couples triolistes pour des couples libertins qui recherchent des rapports avec un homme seul. En effet, la recherche d’une partenaire féminine étant très répandue chez les couples échangistes ou mélangistes, cette recherche ne semble pas les définir sexuellement.

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Triolisme et couples triolistes

S’il existe des couples spécifiquement et uniquement adeptes du triolisme, qui ne cherchent pas de relations avec d’autres couples, la majorité des couples triolistes pratique, par ailleurs, l’échangisme ou le mélangisme.

Il existe ainsi un triolisme désiré et totalement voulu, mais aussi un triolisme de circonstances : quand un couple libertin ne trouve pas de couples correspondant à ses attentes, il arrive qu’il accepte une relation trioliste avec un homme seul.

Toutefois, le triolisme est une pratique libertine en soi, et certains couples ne s’adonnent qu’à celle-ci. A l’inverse du candaulisme, et même si la frontière peut être mince entre ces deux termes, l’homme du couple participe aux ébats triolistes, et ne se contente pas de regarder.

Pratiques triolistes en tout genre

Bien sûr, une relation entre une femme et un couple relève tout autant du triolisme, mais c’est, d’une part, une situation relativement rare et, d’autre part, un fantasme si répandu chez les couples libertins qu’il ne permet pas, en soi, de définir les aspirations libertines du dit couple.

On parlera donc surtout de triolisme pour des couples en quête d’hommes seuls. Certains d’entre eux pratiquent également le gangbang, le dogging libertin et toute autre forme de pluralité masculine. Certains couples triolistes se disent par ailleurs mélangistes, au sens où ils refusent la pénétration de la part du troisième larron.